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Suivi post-cancer : comment améliorer la surveillance des patients ?
11 octobre 2019
La reprise de la vie active suite à la fin d’un traitement anti-cancéreux doit faire l'objet d'une attention particulière pour repérer au plus tôt les rechutes et les éventuelles complications chez les patients. Le suivi post-cancer fait partie du parcours de soins en oncologie : couper le lien patient-hôpital subitement a souvent des effets négatifs sur les personnes ayant terminé leur traitement. Alors, comment améliorer l’accompagnement post-cancer ?
Le Programme Personnalisé de l’Après-Cancer (PPAC) prend le relais du Programme Personnalisé de Soins (PPS) en fin de traitement, pour acter l’entrée dans une nouvelle période de la prise en charge : celle de l’après traitement. Celui-ci est remis au patient à la fin des traitements actifs, pour l’aider à intégrer son suivi post-cancer dans sa vie active.
Une fois son PPAC en main, le patient reprend tout simplement le cours de sa vie... Du moins, c’est ce qui est prévu ! Dans la réalité, la transition n’est pas si simple car la fin du traitement est souvent une période psychologiquement difficile pour le patient. En effet, il est très habituel que les personnes soumises à des traitements importants réagissent mal lorsque les soins s'interrompent. Le personnel médical n’est plus présent, ils doivent reconstruire leur vie sans l’appui des médecins et infirmières qui les ont accompagnés jusqu’à présent. Ils ont bien souvent le sentiment de se retrouver seuls et se sentent délaissés. Il est donc important d’opérer une continuité du suivi après la phase aiguë de la maladie.
D’autant que la surveillance après traitement d’un cancer a un triple intérêt : • La détection d’une récidive ou d’une deuxième tumeur, • Le dépistage des complications et des effets secondaires liés aux traitements, • Le contrôle de l’état psychique du patient.
Pour garantir un suivi post-cancer efficace, la télésurveillance médicale apparaît comme la solution idéale. Une application de suivi à distance permet de surveiller les patients après la fin de leur traitement, simplement à travers un smartphone, une tablette ou un ordinateur. Ils n’ont pas besoin de se déplacer ni de programmer des consultations médicales pour bénéficier d’un suivi post-cancer en continu sur une longue période (voire même à vie).
Concrètement, les patients enregistrent leurs constantes quotidiennement dans l’application. À travers un questionnaire spécialement élaboré par l’établissement de soins, ils reportent des données de santé générales (poids, tension...), des observations particulières (palpation, apparence des plaies…), mais aussi des ressentis personnels (douleur, moral…). Ces informations sont instantanément disponibles pour l’équipe médicale, qui a pour mission de consulter l’application une ou deux fois par jour.
Les données de santé permettent aux soignants de détecter une anomalie, d’anticiper une évolution, une rechute. Le caractère réitératif de la maladie rend la télésurveillance médicale d’autant plus pertinente. En repérant les signes de complications suffisamment tôt, on augmente les chances de survie des patients. D’autant que les patients, comme les médecins, jugent le dispositif peu intrusif et assez léger.
La télésurveillance médicale apparaît donc comme un outil efficace pour améliorer le suivi post-cancer des patients. Il les accompagne, en toute légèreté, dans la fin de leur cycle de soins, en évitant qu’ils ne se sentent délaissés par le personnel médical. Les solutions telles qu’apTeleCare aident à détecter les anomalies afin d’anticiper les éventuelles rechutes. Dans un tel cas, les patients peuvent ainsi être pris en charge plus tôt avec un traitement adapté.
Le suivi post-cancer, partie intégrante du parcours de soins
Le Programme Personnalisé de l’Après-Cancer (PPAC) prend le relais du Programme Personnalisé de Soins (PPS) en fin de traitement, pour acter l’entrée dans une nouvelle période de la prise en charge : celle de l’après traitement. Celui-ci est remis au patient à la fin des traitements actifs, pour l’aider à intégrer son suivi post-cancer dans sa vie active.
Une fois son PPAC en main, le patient reprend tout simplement le cours de sa vie... Du moins, c’est ce qui est prévu ! Dans la réalité, la transition n’est pas si simple car la fin du traitement est souvent une période psychologiquement difficile pour le patient. En effet, il est très habituel que les personnes soumises à des traitements importants réagissent mal lorsque les soins s'interrompent. Le personnel médical n’est plus présent, ils doivent reconstruire leur vie sans l’appui des médecins et infirmières qui les ont accompagnés jusqu’à présent. Ils ont bien souvent le sentiment de se retrouver seuls et se sentent délaissés. Il est donc important d’opérer une continuité du suivi après la phase aiguë de la maladie.
D’autant que la surveillance après traitement d’un cancer a un triple intérêt : • La détection d’une récidive ou d’une deuxième tumeur, • Le dépistage des complications et des effets secondaires liés aux traitements, • Le contrôle de l’état psychique du patient.
Suivi post-cancer : comment l'optimiser ?
Pour garantir un suivi post-cancer efficace, la télésurveillance médicale apparaît comme la solution idéale. Une application de suivi à distance permet de surveiller les patients après la fin de leur traitement, simplement à travers un smartphone, une tablette ou un ordinateur. Ils n’ont pas besoin de se déplacer ni de programmer des consultations médicales pour bénéficier d’un suivi post-cancer en continu sur une longue période (voire même à vie).
Concrètement, les patients enregistrent leurs constantes quotidiennement dans l’application. À travers un questionnaire spécialement élaboré par l’établissement de soins, ils reportent des données de santé générales (poids, tension...), des observations particulières (palpation, apparence des plaies…), mais aussi des ressentis personnels (douleur, moral…). Ces informations sont instantanément disponibles pour l’équipe médicale, qui a pour mission de consulter l’application une ou deux fois par jour.
Les données de santé permettent aux soignants de détecter une anomalie, d’anticiper une évolution, une rechute. Le caractère réitératif de la maladie rend la télésurveillance médicale d’autant plus pertinente. En repérant les signes de complications suffisamment tôt, on augmente les chances de survie des patients. D’autant que les patients, comme les médecins, jugent le dispositif peu intrusif et assez léger.
La télésurveillance médicale apparaît donc comme un outil efficace pour améliorer le suivi post-cancer des patients. Il les accompagne, en toute légèreté, dans la fin de leur cycle de soins, en évitant qu’ils ne se sentent délaissés par le personnel médical. Les solutions telles qu’apTeleCare aident à détecter les anomalies afin d’anticiper les éventuelles rechutes. Dans un tel cas, les patients peuvent ainsi être pris en charge plus tôt avec un traitement adapté.
